Aaah enfin l’occasion d’exploiter mon Nikon 80-200 mm 2,8. 😛
Vu le monde, je savais que je devrais me passer de mon Nikon 85 mm 1,8 fétiche pour rester à distance. Et bien ce brave caillou de 80-200 des années 90 est bien à la hauteur. Le flash étant à proscrire dans ces conditions, une ouverture de 2,8 et 800 isos font merveille.
Je profite pour crier haut et fort aux apprentis photographes qu’ils rangent leur flash et investissent dans un caillou lumineux. Je dis cela car j’ai croisé pléthore de photographes sur place, fiers de leur matériel, de leur boîtier surmonté de flash et diffuseurs monstrueux. Je suis persuadé que leur résultat ne reflète absolument pas l’ambiance et l’éclairage des lieux.
Alors chapeau à l’éclairagiste avec qui j’ai échangé quelques mots avant le show. Il a été mon meilleur ami durant 3 heures :o)
Bravo pour l’organisation. Rien à redire. La salle bondée en a eu plein les yeux et… les oreilles.
Le résultat en images. Clic sur la photo pour voir un extrait…
Très bon tout ca ! Bon travail que tu nous a fait là !!
On voit parfaitement dans le regard et les sourires des modèles qu’elles te connaissent bien, ce qui a joué en ta faveur pour les clichés 😉
Je viens d’investir dans le 70-200 (il ne devrait tarder!), il ne me manquait plus que lui, idéal pour des plans rapprochés tout en restant à distance, et profitant du 2.8 pour la faible luminosité en intérieur.
😀 J’ai été repéré dans la foule.
Ah ben tu vas bien t’amuser avec ton 70-200. Tu vas voir.
Mais fais quelques exercices de muscu car ce sont des cailloux assez peu légers en général :content:
J’avais le premier du nom il y 2 ans, revendu pour financer mon D700, donc je me souviens bien des 2kg du caillou 😉
Tes finances s’allègent et tes bras vont déguster :o)