Je pense qu’il n’est pas nécessaire de présenter le Père Guy Gilbert aussi connu comme le « Prêtre des loubards ».

Mais pour ceux qui désirent le découvrir ou en savoir plus, je vous engage à visiter son site :

www.guygilbert.net

Guy étant de passage à Villers et ayant trouvé le gîte chez ma propre soeur, je ne pouvais manquer cette nouvelle occasion de le rencontrer.

L’homme, malgré ses 77 ans, est resté égal à lui même. Volubile, observateur, curieux, attentif, attachant…
Bien que n’étant pas croyant pratiquant, j’avoue qu’un moment en sa compagnie est toujours un état de Grâce.

Il sera toujours ce rebelle de l’amour. Ses santiags le portent où il le veut, sent.

Anecdote pitoyable due à la période électorale dans laquelle nous vivons. Guy avait reçu un « iMail » (comme il dit) du plus haut magistrat de ma Commune lui enjoignant de ne pas venir car personne ne se déplacerait pour venir l’écouter.

Je ne fais pas de politique. Je suis une exception (ou le vilain petit canard) dans la famille. Mais ce genre de comportement m’a sincèrement heurté. Comment peut-on tenter l’intimidation sur un homme tel Guy?
N’est-il pas imaginable de laisser de côté une bonne fois pour toute cette infection qu’est l’intérêt personnel d’un élu?

Bref, je n’ai pas l’habitude de mélanger mon blog photo avec toute autre considération politique, philisophique ou religieuse.

Je laisse la conclusion à Guy : « J’en ai rien à foutre des tronches que vous plantez dans vos champs de carottes pour vos élections. » 

Ceci étant un blog consacré à ma photographie, voici un extrait des clichés intimes et eucharistiques du Père Guy Gilbert.

Mon brave D700 (je ne lui trouve pas de successeur. Ni le D600 trop court en synchro, ni le D800 trop gourmand en mégas) et son meilleur ami, le 24-120 mm F4.