Le CLS de Nikon. Voilà une fonctionnalité que j’utilise à gogo, je dirais. Nikon permet de gérer autant de flash cobra (SB-600, 700, 800 et 900) que l’on souhaite. Les modèles sont souvent étonné(e)s de me voir débarquer avec mes flash. Elles comprennent vite tout le potentiel offert par la lumière déportée.
Certains photographes ne jurent que par la lumière naturelle (Pour de bonnes raisons que je ne conteste pas). D’autres privilégient le strobisme (pas le strabisme hein!). Je fais partie de ceux-ci.
Autre débat : CLS de Nikon ou utilisation de commande radio pour déporter sa lumière?
Je n’ai jamais voulu investir dans un système radio coûteux alors j’ai de braves phottix (par chers sur eBay). Mais ce qui m’embête dans ces systèmes, c’est le fait que l’on doive se déplacer de flash en flash pour les régler individuellement. Mais aussi, ils ne déclenchent par à 100% 🙁
Avec le CLS, je règle mes flash directement du boîtier ou du flash maître. Gain de temps et d’énergie :hihi:
Alors, je me suis donc investi dans le CLS. Mon matériel Nikon me le permet. Donc pourquoi s’en priver?
Ok. D’aucuns me diront que cela ne déclenche pas en plein soleil (je n’ai jamais eu de souci à ce niveau) ou si un obstacle se trouve entre le boîtier et le(s) flash. Effectivement, la liaison est infra-rouge. Il suffit de bien disposer son set et aucun souci.
Quant à la distance, je déclenche à plusieurs dizaines de mètres sans faille.
Mais une vidéo vaut mieux qu’un long discours. Voyez ce que le maître CLS, Joe McNally, réalise avec cette fonction. 9 flash pour réaliser cette merveille (ben oui, il a le budget lui) !
Ca le fait nickel, le flash comme le reste du matos : le tout c’est de savoir l’utiliser.